Au sein du service AVDL Santé Mentale et sous la supervision du-de la chef-fe de service de Coc’Home, le.a travailleur.euse social.e assure, dans le respect de l’ensemble des procédures établies, un accompagnement global de personnes et/ou familles vivant avec un trouble psychique sans logements pour faciliter l’accès à un logement, d’agir de manière préventive dès l’attribution de celui-ci pour minorer les risques de rupture de parcours et les difficultés locatives. Dans le cadre du projet AVDL Santé Mentale, le.a travailleur.euse social.e sera amené.e à intervenir auprès de 15 ménages sur les secteurs de l’agglomération marseillaise mais également les secteurs de La Ciotat, Aubagne, l’étang de Berre et son pour tour ainsi que Salon et Istres. il.elle aura pour mission de : Co-évaluer, avec le ménage, les besoins en matière de savoir-habiter ; Favoriser l’adhésion des ménages en contractualisant un accompagnement adapté et réactif et définissant ses modalités avec les personnes ; Soutenir les démarches d’insertion sociale et d’accès aux droits commun par un suivi adapté et avec une sensibilisation aux outils numériques si nécessaire (une conseillère numérique fait partie du Pôle Logements Accompagnés) ; Développer des relations avec les partenaires extérieurs (institutions, administrations, associations) et accompagner / orienter les usagers en fonction des besoins, en mobilisant ainsi les acteurs concernés (CCAS, CAF, services de santé, etc.) Promouvoir une approche pluridisciplinaire (logement, santé, social, emploi) en s’appuyant sur les compétences développées par le Pôle Logements Accompagnés, composé de plusieurs dispositifs d’IML et notamment de santé mentale et d’insertion / logement / emploi S’assurer d’une bonne installation et occupation des ménages dans les appartements et veiller au respect du vivre ensemble notamment dans ses relations avec le voisinage; Mettre en place les éventuelles interventions à domicile de partenaires et coordonner le partenariat autour la personne, dans une démarche d’aller vers, en articulant l’accompagnement avec les dispositifs de droit commun et notamment celui de la santé mentale ; Réaliser un bilan de fin de mesure avec une évaluation partagée et des préconisations.